Ethnologue de formation, Madeleine est professeure titulaire au Département de sociologie de l’Université Laval depuis 2005. Ses recherches portent sur les identités individuelles et collectives dans le contexte de l’individualisation croissante des rapports sociaux et de la pluralisation des sociétés occidentales.
Ses travaux les plus im
Ethnologue de formation, Madeleine est professeure titulaire au Département de sociologie de l’Université Laval depuis 2005. Ses recherches portent sur les identités individuelles et collectives dans le contexte de l’individualisation croissante des rapports sociaux et de la pluralisation des sociétés occidentales.
Ses travaux les plus importants concernent les formes de sociabilité qui sont apparues avec le numérique et les enjeux de reconnaissance dans les communautés en ligne. Elle enseigne la sociologie de l’individu, de l’identité, les théories de l’ethnicité et les méthodes d’enquête de terrain.
Avant de joindre l’exécutif du SPUL, Madeleine a eu entre autres choses l’occasion de jouer le rôle de déléguée syndicale, de présidente de son assemblée d’unité, de directrice des programmes en sociologie, de membre de la commission de la recherche et de directrice du CELAT, des fonctions qui lui ont permis de développer une vision élargie de l’université et d’acquérir la conviction profonde que c’est au SPUL qu’elle pourrait le mieux contribuer à défendre une conception véritablement collégiale de l’université et lutter contre tout ce qui tend à restreindre la collégialité et la liberté académique des professeur.e.s.
Comme secrétaire du SPUL, elle veille au suivi des dossiers du Comité exécutif et du Conseil syndical et à leur bon fonctionnement, en plus de siéger au Comité d’application de la convention collective.
Au cours de la dernière année, elle a plus particulièrement travaillé sur le dossier de la révision des statuts de l’UL, sur le cahier des charges en vue des négociations de la prochaine convention collective et sur les problèmes que rencontrent les collègues avec les CERUL.
Sociologue et historien de l’art, Maxime Coulombe est professeur titulaire d’histoire de l’art contemporain au département des sciences historiques. Ses travaux abordent la réception des images, qu’elles tiennent de l’art, du cinéma ou des jeux vidéo. Il s’est notamment penché sur la fascination pour les jeux vidéo et la manière dont ils
Sociologue et historien de l’art, Maxime Coulombe est professeur titulaire d’histoire de l’art contemporain au département des sciences historiques. Ses travaux abordent la réception des images, qu’elles tiennent de l’art, du cinéma ou des jeux vidéo. Il s’est notamment penché sur la fascination pour les jeux vidéo et la manière dont ils paraissent une réponse à la recherche de reconnaissance des jeunes générations (Le monde sans fin des jeux vidéo, Presses universitaires de France, 2010). Renouant avec ces enjeux, il termine actuellement un ouvrage sur les relations entre attention et dépendance aux jeux vidéo.
Croisant psychanalyse et sociologie, ses recherches portent aussi sur la manière dont le cinéma et les œuvres d’art se révèlent des symptômes capables d’analyser la société contemporaine. À l’aune d’une telle perspective, il a entre autres travaillé sur le cinéma d’horreur et d’apocalypse, pour en faire un révélateur du pessimisme contemporain (Petite philosophie du zombie, PUF, 2012 ; 2014, pour la traduction italienne ; 2018, pour la traduction japonaise). Plus récemment et à partir des neurosciences et des sciences cognitives, il a montré comment les images, qu’elles tiennent de l’art ou de la culture, font lever les souvenirs, les désirs (Le plaisir des images, PUF, 2019 ; réédition en poche 2021). Ses recherches financées actuelles portent sur la méditation dans l’art actuel (CRSH, 2021), et sur la production artistique de Irene F. Whittome (FLSH 2022).
Dans le cadre de ces fonctions professorales, il a dirigé le doctorat interuniversitaire en histoire de l’art (Université du Québec à Montréal, Université de Montréal, Université Concordia et Université Laval) de 2009 à 2012. Investi dans la vie artistique et culturelle de la ville de Québec, il a entre autres été membre du conseil d’administration de VU : photo, du comité d’acquisition en arts actuels du Musée national des Beaux-Arts du Québec (MNBAQ), du prix MNBAQ en arts actuels. Il fait partie du comité scientifique de Figura : centre de recherche sur le texte et l’imaginaire.
Au SPUL, Maxime Coulombe a été membre du comité d’urgence sur la situation sanitaire (2020-2021) et délégué syndical pendant plus d’une dizaine d’années.
Laurence est professeure adjointe au Département d’économie agroalimentaire et des sciences de la consommation de l’Université Laval depuis janvier 2020.
Elle a auparavant travaillé comme chercheure à l’Université de Lausanne et à l’Université de Genève. Sociologue de formation, elle s’intéresse principalement à l’alimentation comme phéno
Laurence est professeure adjointe au Département d’économie agroalimentaire et des sciences de la consommation de l’Université Laval depuis janvier 2020.
Elle a auparavant travaillé comme chercheure à l’Université de Lausanne et à l’Université de Genève. Sociologue de formation, elle s’intéresse principalement à l’alimentation comme phénomène social, à la consommation durable et aux inégalités sociales. Ses recherches actuelles portent entre autres sur la réduction de la consommation de viande dans la population et les représentations sociales des protéines alternatives, le travail de care et les enjeux de genre dans la consommation durable, ainsi que l’insécurité alimentaire.
Ses activités d’enseignement et d’encadrement touchent aux dimensions sociale, culturelle et politique de la consommation et de l’alimentation.
Elle est déléguée syndicale depuis septembre 2021. Au sein du comité de négociation, elle porte les intérêts particuliers des professeur.es non permanent.es et en début de carrière.
Vincent est professeur titulaire au Département de pédiatrie et chercheur affilié au Centre de Recherche de l’Institut Universitaire de Cardiologie et de Pneumologie de Québec / Université Laval.
Ses recherches portent sur les réponses physiologiques en condition de déficit chronique ou intermittent de l’apport d’oxygène à l’organisme.
Vincent est professeur titulaire au Département de pédiatrie et chercheur affilié au Centre de Recherche de l’Institut Universitaire de Cardiologie et de Pneumologie de Québec / Université Laval.
Ses recherches portent sur les réponses physiologiques en condition de déficit chronique ou intermittent de l’apport d’oxygène à l’organisme. À l’aide de ces modèles, il cherche respectivement à déterminer les éléments biologiques permettant les adaptations à la vie en haute altitude, et à mieux comprendre comment le sexe et les hormones sexuelles déterminent les conséquences pathologiques de l’apnée du sommeil, une maladie respiratoire extrêmement répandue dont les conséquences varient grandement chez les hommes et chez les femmes sans que les mécanismes expliquant ces différences soient compris.
Au sein du SPUL, Vincent est membre du comité d’application de la convention collective depuis 2018, s’impliquant activement dans la défense des droits et intérêts des professeures et professeurs de l’Université Laval. C’est donc fort de cette expérience que Vincent participe directement aux négociations et soit actif pour faire progresser nos conditions de travail et renforcer les droits de tous dans le respect de l’esprit de collégialité nécessaire à l’accomplissement de nos missions académiques.